Budget de l’état et de la sécurité sociale : Les salarié.e.s ont assez payé !
LE GOUVERNEMENT EST TRÈS FRAGILE : NOUS POUVONS LE FAIRE RECULER !
DÈS MAINTENANT ON S’ORGANISE EN SE SYNDIQUANT DANS SON ENTREPRISE OU SON SERVICE POUR GAGNER DES AUGMENTATIONS DE SALAIRE.
TOUJOURS LES MÊMES QUI PASSENT À LA CAISSE
Depuis 7 ans, Emmanuel Macron et ses gouvernements multiplient les cadeaux aux plus riches et aux grandes entreprises. C’est cette politique qui a creusé la dette.
175 milliards d’aides publiques par an pour les entreprises, c’est un tiers du budget de l’État. C’est +50% en 15 ans ! Et le tout sans ciblage, sans condition ni contrepartie, sans évaluation ni contrôle de l’efficacité. C’est cadeau.
Les actionnaires du CAC 40 se sont augmentés de 30% ces dernières années. Les 10 français les plus riches ont multiplié leur fortune par 3,88 depuis 2017. Vous avez connu les mêmes augmentations de salaire, vous ? Non. Par contre, on nous a volé deux ans de vie avec la retraite à 64 ans.
L’AUSTÉRITÉ, C’EST LA BRUTALITÉ !
Alors que nos services publics sont à bout de souffle, le gouvernement décide à nouveau de les amputer avec :
• 5 milliards d’euros en moins pour les services publics dans les territoires
• 4000 suppressions de postes dans l’Éducation nationale, alors que l’école manque de moyens (comme l’Hôpital et de nombreux autres services publics)
• Le gel du point d’indice des fonctionnaires alors que leurs salaires réels ont baissé de plus de 18% depuis 2010
• La perte de 200 € en moyenne sur l’année pour tous les retraités du public et du privé avec le report de l’indexation des pensions.
ÇA PARLE DE DETTE, JAMAIS DE RECETTES
Qu’on parle d’impôts ou de cotisations sociales, le principe du “pot commun” est simple : plus on a, plus on paye. C’est efficace et ça repose sur les richesses crées.
Les plus riches et les entreprises qui dégagent des profits pour leurs actionnaires s’organisent pour ne pas avoir à payer leur part. Et c’est nous, les salarié·es, actifs et retraité·es qui perdons à chaque fois au change.
Nos services publics, nos systèmes solidaires de redistribution sont aujourd’hui en manque criant de ressources, alors que l’argent existe !